Triboc - bio

C'est alors que Jules César s'écria : « Ma qui c'est ceux-là ? » « C'est Triboc » répondit Manulus Diolivus.
Triboc, c'est le rock rugueux d'une colère désabusée et intemporelle, de celle qu'on crie à la face du monde pour se soulager sans trop d'espoir. Luttant contre des armées de légionnaires jadis, de vampires en costume aujourd'hui.

Triboc ce sont trois gars, revenus de tout, mais pas vraiment rangés des bécanes. Trois musiciens qui ont écumé les scènes de France et de Navarre dans les années 90 et 2000, entre funk, punk rock, et cross-over (Green Jaw Cathy, Les écorchés, Black Sun). C'est en 2018 qu'après avoir quasiment mis le feu sacré sous l'éteignoir, les espiègles aléas de la vie ont soufflé sur les braises plus fort que jamais. L'alchimie née de la rencontre des trois musiciens s'est vite révélée sur scène dans des concerts mémorables pour le public.

Avec Olivier Friker (guitare/chant), Emmanual Milloux (basse/choeurs), Olivier Kauffmann (batterie/choeurs), le trio mêle les influences des grands classiques du rock (Led Zeppelin, Deep Purple, mais aussi Pearl Jam et Police) aux harmonies et aux sons résolument modernes (Rival Sons, Queens of the Stone Age).

Les textes en français et en anglais racontent le temps présent, avec ses luttes pour vivre, ses moments de colères et ses moments de libérations festives.

En concert, Triboc se présente à son public sans fard, avec l'évident désir de partager sa musique dans l'esprit rock n'roll : sans retenue et sans tricher. Et l'on s'envole dans ce trimoteur revisiter les haut-lieux du rock, de Paris à Seattle, en passant par Londres ou Houston.

Après un premier album (Triboc in Stone, sorti en 2019) qui a chopé le covid, le groupe est en train de préparer un second opus à sortir début 2024. Un rock plus agressifs, disent-ils. On attend d'entendre ça, mais on espère ne pas attendre trop longtemps.